Pourquoi est-il si difficile de prendre du temps pour soi ? Comprendre nos freins pour mieux avancer, à Brest

Prendre soin de soi semble être une évidence… jusqu’à ce qu’on tente de le faire réellement. Dans un monde où tout va vite, où les responsabilités se multiplient et où le mental tourne en continu, beaucoup de personnes expriment la même difficulté : “Je sais que j’en ai besoin… mais je n’y arrive pas.”

En tant que praticienne en bien-être, j’entends presque chaque semaine les mêmes freins :

👉 le manque de temps,

👉 le budget limité,

👉 la peur de lâcher prise.

Si vous vous reconnaissez, sachez que vous n’êtes pas seul(e).

Dans cet article, nous allons explorer ces blocages en profondeur, comprendre pourquoi ils existent et comment les dépasser pour retrouver un équilibre physique, mental et émotionnel.

Cet article vous guide également vers des solutions concrètes pour reconnecter avec votre bien-être — sans culpabilité et sans pression.

  1. “Je n’ai pas le temps” : le frein le plus courant

Le manque de temps est le premier argument que j’entends lorsque je parle de relaxation, d’accompagnement ou de rituels de bien-être.

Et c’est compréhensible : nos journées sont souvent organisées autour des obligations, des priorités des autres, du travail, de la famille, des imprévus…

1.1. Le piège du “je ferai ça quand j’aurai le temps”

Le problème, c’est que le temps ne se libère jamais tout seul.

On attend le bon moment, la bonne semaine, la bonne énergie… mais ces conditions idéales n’arrivent jamais.

Le cerveau préfère prioriser ce qui semble urgent plutôt que ce qui est important.

Et prendre soin de soi est souvent perçu comme non urgent, alors qu’il est essentiel pour éviter l’épuisement, la perte d’énergie et l’accumulation de stress.

1.2. Repenser la notion de temps pour soi

Prendre du temps pour soi ne veut pas dire bloquer une demi-journée ou partir en retraite bien-être. Cela commence parfois par :

  • 5 minutes de respiration,
  • une courte pause consciente,
  • un moment de relaxation accompagnée,
  • deux minutes pour masser ses mains ou ses pieds,
  • un soin ponctuel pour relâcher une charge accumulée.

Le problème n’est pas le manque de temps : c’est la difficulté à se prioriser.

Et cela se travaille.

  1. “Le bien-être, c’est trop cher” : un frein lié à la valeur personnelle

Le deuxième frein le plus fréquent est le budget.

Dans une société où tout augmente, il est normal de surveiller ses dépenses.

Mais il est utile de réfléchir à ce que le mot “trop cher” signifie réellement.

2.1. Le bien-être perçu comme un luxe

Beaucoup de personnes voient encore un soin, une séance de relaxation ou une approche holistique comme un cadeau, quelque chose d’accessoire.

Pourtant, ce sont des outils puissants pour :

  • réduire les douleurs,
  • diminuer le stress,
  • améliorer le sommeil,
  • prévenir l’épuisement mental,
  • retrouver une énergie stable,
  • renforcer la vitalité du système nerveux.

Autrement dit : investir dans son bien-être, c’est protéger sa santé future.

2.2. Ce que coûte réellement de ne pas prendre soin de soi

Ne pas prendre de temps pour soi peut avoir un prix caché :

  • fatigue chronique,
  • irritabilité,
  • douleurs persistantes,
  • manque d’efficacité au travail,
  • tensions physiques,
  • accumulation émotionnelle,
  • stress qui s’installe durablement.

À long terme, cela se traduit parfois par des consultations médicales, des arrêts, des traitements ou des périodes d’effondrement.

Le vrai coût, c’est l’épuisement.

2.3. Le bien-être est un investissement, pas une dépense

Une séance LineQuartz®©, de réflexologie ou de relaxation profonde n’est pas une gourmandise : c’est une véritable réinitialisation du système nerveux, un espace de déconnexion, un soutien pour le corps et l’esprit.

Et, contrairement à une dépense ponctuelle, un soin a un effet durable.

  1. La peur de lâcher prise : le frein invisible, mais le plus puissant

C’est le frein dont on parle le moins… et pourtant c’est souvent le vrai obstacle.

Beaucoup de personnes avouent :

“J’ai peur de lâcher prise”…

“J’ai peur de perdre le contrôle”…

“J’ai peur de ce qui va remonter si je me pose”…

3.1. Pourquoi est-il si difficile de lâcher prise ?

Lâcher prise, ce n’est pas “laisser tomber”.

C’est relâcher ce que l’on ne peut plus porter seul(e).

Mais lorsque l’on a passé des années à être fort(e), à gérer, à tenir debout pour les autres, s’autoriser à souffler peut créer une sensation d’inconfort.

Le cerveau, habitué au stress, interprète le calme comme une menace, tout simplement parce que ce n’est pas familier.

3.2. Lâcher prise demande de se sentir en sécurité

On ne peut pas lâcher prise dans un environnement où on ne se sent pas accueilli, compris et respecté.

C’est pourquoi un accompagnement bienveillant, progressif, intimiste — comme en LineQuartz®©, en réflexologie ou en relaxation guidée — permet au corps de s’autoriser naturellement à relâcher.

3.3. Quand le corps n’arrive plus à retenir

À un moment, le corps finit toujours par envoyer des messages :

  • douleurs,
  • tensions,
  • fatigue extrême,
  • hypersensibilité émotionnelle,
  • irritabilité,
  • perte de motivation.

Lâcher prise devient alors indispensable.

Mais on peut le faire en douceur, en étant accompagné(e), sans se sentir submergé(e).

  1. Comment dépasser ces freins et enfin prendre du temps pour soi ?

4.1. Commencer petit, mais commencer

On croit souvent qu’il faut changer toute sa vie.

En réalité, il faut commencer par un seul geste, répété régulièrement.

Quelques exemples :

  • couper son téléphone 10 minutes,
  • respirer profondément,
  • marcher 5 minutes dehors,
  • prendre un soin par mois,
  • réserver une pause bien-être dans son agenda.

4.2. Planifier le bien-être comme une priorité

Si vous ne le notez pas dans votre agenda, cela ne se fera pas.

Bloquez une date pour vous : un soin, une séance, un moment de calme.

C’est une manière de se dire :

“Je compte aussi.”

4.3. S’entourer de professionnels de confiance

Lâcher prise demande un espace sécurisé.

Dans mon cabinet à Brest, j’accompagne chaque personne avec :

  • douceur,
  • écoute,
  • respect du rythme,
  • explications claires,
  • une approche globale

Chaque séance devient un espace où l’on peut se déposer sans jugement.

4.4. Revoir la notion d’investissement

Un soin n’est pas un caprice : c’est un moyen de prévenir l’épuisement, de restaurer l’énergie, d’améliorer la qualité de vie.

Le bien-être n’a pas besoin d’être coûteux : il doit être adapté, régulier, bien ciblé.

  1. Prendre soin de soi n’est pas égoïste : c’est essentiel

Cela devrait être enseigné dès l’enfance : on ne peut pas donner ce que l’on n’a plus.

Prendre soin de soi :

  • améliore la patience,
  • renforce la disponibilité émotionnelle,
  • augmente l’énergie,
  • rend plus efficace au travail,
  • apaise les relations,
  • stabilise les émotions.

C’est un acte de respect envers soi, mais aussi envers les autres.

Quel est votre plus grand frein aujourd’hui ?

Est-ce le manque de temps ?

Le budget ?

La peur de lâcher prise ?

Ou un mélange des trois ?

Identifier ses blocages est le premier pas vers le mieux-être.

Et vous méritez ce mieux-être — chaque jour, pas seulement quand ça va mal.

👉 Si vous souhaitez être accompagné(e) en douceur pour retrouver calme, énergie et clarté intérieure, je vous accueille avec bienveillance dans mon cabinet à Brest.

Votre corps et votre esprit ont besoin de ces espaces de respiration.

Et vous aussi.

💫 Les gens gentils sont en meilleure santé : et si la bienveillance était notre meilleur remède ? A Brest

La phrase peut sembler naïve au premier abord : « Les gens gentils sont en meilleure santé. »

Pourtant, derrière cette idée se cache une vérité scientifique, émotionnelle et spirituelle.

La gentillesse, loin d’être une faiblesse, agit comme un véritable levier de bien-être global.

Et si, au lieu de courir après des solutions compliquées pour aller mieux, nous commencions simplement… par être plus gentils ?

🌍 Le World Kindness Day : une journée dédiée à la bienveillance

Célébré à l’origine le 13 novembre, le World Kindness Day (ou Journée mondiale de la gentillesse) a été initié par le World Kindness Movement, un mouvement né à Singapour en 2000.

L’objectif ? Promouvoir la gentillesse comme valeur universelle et rappeler son rôle dans la construction d’un monde plus harmonieux.

En France, la date a été déplacée au 3 novembre, par respect pour la mémoire des attentats de Paris du 13 novembre 2015.

Une décision symbolique : choisir la gentillesse, c’est aussi choisir la paix.

Mais pourquoi consacrer une journée à ce thème ?

Parce que, dans un monde où tout va vite, prendre soin des autres (et de soi) devient un acte de résistance, un moyen de restaurer du sens et du lien humain.

💗 La gentillesse, une force intérieure

Être gentil ne signifie pas être faible ou naïf.

C’est, au contraire, un signe de maturité émotionnelle.

C’est savoir dire non sans blesser, accueillir sans se perdre, donner sans s’épuiser.

La gentillesse véritable repose sur l’équilibre : celui du respect de soi et des autres.

Elle demande du courage, de la conscience, et souvent… une belle dose d’humilité.

Les personnes bienveillantes développent des relations plus apaisées, une confiance accrue et un sentiment d’appartenance plus fort.

Or, ces trois éléments sont directement liés à notre santé mentale et émotionnelle.

🧠 Quand la gentillesse agit sur le cerveau

Les neurosciences confirment ce que l’intuition nous souffle depuis toujours : être bon pour les autres, c’est bon pour soi.

Chaque fois que vous faites preuve de gentillesse, votre cerveau libère de l’ocytocine, appelée aussi hormone du lien social.

Cette molécule magique réduit le stress, régule la tension artérielle, et stimule le système immunitaire.

👉 En parallèle, les niveaux de sérotonine (hormone du bien-être) et de dopamine (hormone du plaisir) augmentent.

Résultat ? Un sentiment de satisfaction, de calme et d’équilibre émotionnel durable.

Les études montrent même que les personnes qui pratiquent régulièrement des actes de gentillesse présentent :

  • Moins de symptômes dépressifs,
  • Une meilleure qualité de sommeil,
  • Un cœur plus sain,
  • Et une plus grande longévité.

Autrement dit, la bienveillance serait un médicament naturel, sans effets secondaires… à part peut-être le bonheur.

💬 Être gentil : un art de vivre

La gentillesse n’est pas une posture qu’on adopte un jour par an.

C’est une philosophie de vie à incarner au quotidien.

Cela peut être :

  • Un mot doux glissé à un collègue en difficulté,
  • Un sourire échangé avec un inconnu,
  • Une écoute véritable sans jugement,
  • Ou simplement le fait de se parler avec douceur à soi-même.

Parce qu’il faut bien le dire : la première personne à qui nous devons de la gentillesse, c’est nous.

Apprendre à se respecter, à ralentir, à accueillir ses émotions, à se pardonner : c’est le point de départ de toute transformation intérieure.

Sans cet amour de soi, la gentillesse envers les autres s’épuise vite.

🌿 Les effets de la gentillesse sur la santé physique

Les chercheurs en psychologie positive et en médecine intégrative s’accordent : la gentillesse a un impact direct sur le corps.

Voici quelques bienfaits observés :

  • Diminution du cortisol (hormone du stress)
  • Renforcement du système immunitaire
  • Baisse de la pression artérielle
  • Ralentissement du vieillissement cellulaire
  • Réduction des douleurs chroniques (grâce à la détente du système nerveux)

Quand le corps est en mode bienveillance, il sort du mode « défense » pour revenir en équilibre.

Et cet état d’équilibre favorise la guérison, la digestion, la vitalité, la clarté mentale…

La gentillesse agit donc comme un régulateur naturel, en harmonisant le corps et l’esprit.

🤝 La gentillesse, catalyseur de relations authentiques

Dans un monde souvent centré sur la performance, la gentillesse devient un facteur différenciant.

Les leaders bienveillants inspirent plus que ceux qui imposent.

Les entreprises qui valorisent la reconnaissance et le respect humain voient leur climat social et leur productivité s’améliorer.

Dans la sphère personnelle, la gentillesse crée du lien, de la sécurité affective, de la confiance.

Elle apaise les conflits, favorise la communication sincère et renforce les liens d’amitié et d’amour.

Bref, la gentillesse nourrit les relations humaines à tous les niveaux — professionnel, familial, amoureux, communautaire.

🔄 Être gentil sans s’oublier : la clé de l’équilibre

Certaines personnes confondent gentillesse et sacrifice.

Elles donnent sans compter, jusqu’à s’épuiser.

Or, la véritable gentillesse n’exclut pas les limites.

C’est savoir dire :

“Je t’écoute, mais j’ai besoin de temps pour moi.”

“Je comprends ta peine, mais je ne peux pas la porter à ta place.”

Cette forme de bienveillance lucide permet de rester aligné, ancré et authentique.

C’est ainsi que la gentillesse devient une force stable et durable.

🌸 Comment cultiver la gentillesse au quotidien ?

Voici quelques pistes simples pour intégrer davantage de douceur dans votre vie :

  1. Respirez avant de réagir.

Cela permet de calmer le mental et de répondre avec bienveillance plutôt que sous le coup de l’émotion.

  1. Remerciez plus souvent.

La gratitude est la sœur jumelle de la gentillesse.

  1. Écoutez sincèrement.

Offrir une oreille attentive est l’un des plus beaux cadeaux qu’on puisse faire.

  1. Offrez un compliment sincère.

Il peut transformer la journée de quelqu’un — et la vôtre aussi.

  1. Prenez soin de vous.

Dormez, marchez, méditez, riez. Vous serez d’autant plus disponible pour les autres.

  1. Soutenez sans juger.

Parfois, la gentillesse consiste simplement à être là, sans chercher à réparer.

🌞 En résumé : la gentillesse, un cercle vertueux

Être gentil, c’est prendre soin du monde — mais aussi de soi.

Chaque acte bienveillant déclenche une onde positive qui rehausse la santé globale, renforce le système immunitaire, allège le mental et redonne confiance en la vie.

La gentillesse est contagieuse.

Plus nous la cultivons, plus elle se répand autour de nous, créant une énergie collective de paix et d’équilibre.

💬 Et vous ?

Et si, à partir d’aujourd’hui, vous décidiez de faire de la gentillesse votre priorité santé ?

Pas seulement pour une journée, mais comme un mode de vie ?

Commencez petit : un mot doux, un sourire, une intention sincère.

Vous verrez… le monde changera autour de vous, et votre corps vous dira merci. 💛

Movember : les hommes ont aussi le droit — et peut-être même le devoir — de prendre du temps pour eux 🧔💙 à Brest

Chaque mois de novembre, les moustaches fleurissent un peu partout sur les visages et les réseaux. Derrière ces poils symboliques se cache une cause profonde : la santé masculine.

Le mouvement Movember ne se limite pas à un défi amusant ou à une mode passagère. Il est un cri du cœur, une invitation à repenser la manière dont les hommes prennent soin d’eux — ou plutôt, ne prennent pas le temps de le faire.

Et si, au lieu de célébrer seulement la moustache, on profitait de ce mois pour ouvrir un dialogue plus sincère sur un sujet encore trop tabou : le droit (et le devoir ?) des hommes à s’occuper de leur santé physique, mentale et émotionnelle.

🌿 1. Movember, bien plus qu’une moustache

Créé en 2003 en Australie, le mouvement Movember a depuis pris une ampleur mondiale.

Son objectif : sensibiliser aux maladies qui touchent spécifiquement les hommes, comme le cancer de la prostate, le cancer des testicules, et surtout, la santé mentale.

Derrière les chiffres se cachent des réalités préoccupantes :

  • 1 homme sur 8 sera diagnostiqué d’un cancer de la prostate dans sa vie.
  • Le suicide est l’une des principales causes de mortalité chez les hommes de moins de 50 ans.
  • Et trop souvent, ces hommes souffrent en silence.

Parce que demander de l’aide, parler de ses émotions, ou admettre sa vulnérabilité reste encore perçu comme un signe de faiblesse.

Movember veut inverser cette croyance.

Parce que la vraie force, c’est de savoir dire quand ça ne va pas.

💬 2. Pourquoi les hommes ont du mal à prendre soin d’eux ?

Depuis des générations, la société a façonné une image de l’homme fort, endurant, rationnel.

Un homme “vrai” ne se plaint pas, ne pleure pas, ne s’arrête pas.

Ce modèle, hérité d’une époque où la survie et la performance primaient, est aujourd’hui devenu un piège émotionnel.

Dans la vie professionnelle, ces croyances se traduisent par une pression constante : réussir, subvenir, être performant, garder la face.

À la maison, il faut être le roc, le protecteur, celui qui ne faillit jamais.

Mais la vérité, c’est que personne n’est fait d’acier.

Sous cette carapace, il y a de la fatigue, du stress, parfois une immense solitude.

Et plus on refoule ses émotions, plus le corps finit par parler : insomnies, douleurs, crises d’angoisse, burn-out, maladies chroniques…

Prendre du temps pour soi, pour un homme, devient alors un acte de courage.

🕊️ 3. Prendre du temps pour soi : un droit et un devoir

Il est temps de changer de regard.

Les hommes ont non seulement le droit, mais aussi le devoir de se préserver.

Un homme qui prend soin de lui devient un homme plus disponible, plus attentif, plus présent pour les autres.

Prendre du temps pour soi, ce n’est pas fuir ses responsabilités.

C’est recharger ses batteries pour mieux les assumer.

👉 Cela peut passer par des gestes simples :

  • Faire un check-up médical annuel sans attendre les symptômes.
  • Se réserver un moment de calme dans la journée, sans téléphone ni obligation.
  • Pratiquer un sport ou une activité relaxante (marche, méditation, jardinage…).
  • Oser dire “non” sans culpabiliser.
  • Parler à un proche, un thérapeute, un collègue de confiance.

Chaque petit pas compte.

Parce que la prévention est la meilleure des forces.

💙 4. Santé mentale masculine : sortir du silence

Le tabou de la santé mentale chez les hommes est encore très fort.

Beaucoup redoutent le jugement, la honte, ou la perte de crédibilité.

Pourtant, les chiffres sont clairs : les hommes sont plus nombreux à se suicider, mais moins nombreux à demander de l’aide.

Il est donc vital d’apprendre à parler, à exprimer ce qu’on ressent, à montrer ses émotions sans craindre d’être jugé.

Un homme vulnérable n’est pas un homme faible.

C’est un homme humain.

La santé mentale doit être considérée comme une priorité, au même titre que la forme physique ou l’alimentation.

S’autoriser à ralentir, c’est aussi honorer la vie.

🌍 5. Et si la société les y aidait davantage ?

Les entreprises, les associations, les familles ont un rôle essentiel à jouer.

Créer un environnement où les hommes peuvent parler librement de leurs difficultés, prendre un jour de repos sans se sentir coupables, ou participer à des actions de prévention, c’est déjà un grand pas.

Les campagnes Movember ne servent pas seulement à récolter des fonds : elles ouvrent le dialogue.

Elles rappellent à tous — collègues, amis, conjoints, enfants — que la bienveillance est une responsabilité collective.

🌱 6. Et si ce mois de novembre devenait un tournant ?

Et si, cette année, Movember n’était pas seulement un mois pour laisser pousser sa moustache, mais aussi pour se reconnecter à soi-même ?

Pour ralentir, respirer, se poser la question :

“De quoi ai-je besoin, moi, pour aller bien ?”

Les hommes n’ont pas à porter seuls le poids du monde.

Ils ont le droit de douter, de souffler, de s’écouter.

Et oui, ils ont le devoir de se préserver — pour eux, pour leurs proches, pour la société tout entière.

💭 7. En conclusion : prendre soin de soi, c’est prendre soin des autres

Movember est un mouvement de prévention, mais aussi un message d’amour et d’humanité.

Parce qu’un homme qui prend soin de lui devient un modèle de bienveillance.

Parce qu’un homme qui ose parler, inspire d’autres à le faire.

Et parce qu’un homme en paix avec lui-même peut apporter beaucoup plus à ceux qu’il aime.

Alors, en ce mois de novembre, portons fièrement la moustache ou soutenons ceux qui la portent.

Mais surtout, portons un message fort :

👉 les hommes aussi ont le droit — et le devoir — de s’écouter, de ralentir, de vivre pleinement.